Le vendredi 11 avril, l’Assemblée nationale a rejeté l’amendement déposé dans le cadre du projet de loi de simplification de la vie économique, qui visait à reporter d’un an l’entrée en vigueur de la réforme de la facturation électronique.
Le calendrier initial est donc maintenu : la généralisation de la facturation électronique interviendra progressivement à partir du 1er septembre 2026. Suivi de près par les entreprises et les acteurs du numérique, ce vote en faveur du maintien constitue un signal de stabilité réglementaire, attendu par de nombreux professionnels déjà engagés dans la préparation de cette échéance.
Portée comme une réforme structurante au service de la modernisation des échanges interentreprises, la facturation électronique vise à améliorer la traçabilité, la lutte contre la fraude et l’efficacité administrative dans les relations commerciales.