Entre fonds d’investissement et industriels de l’agroalimentaire, une course de vitesse est lancée pour mettre la main sur le maximum de cabinets de vétos. Une financiarisation du secteur que les instances déontologiques aimeraient voir encadrée.
Entre fonds d’investissement et industriels de l’agroalimentaire, une course de vitesse est lancée pour mettre la main sur le maximum de cabinets de vétos. Une financiarisation du secteur que les instances déontologiques aimeraient voir encadrée.