Le Conseil d’État a rappelé début août qu’un masseur-kinésithérapeute n’est pas autorisé à effectuer un toucher pelvien sur une patiente sans prescription médicale. Cette décision s’applique même si le professionnel exerce également comme ostéopathe. Le Conseil d’État a annulé une décision disciplinaire qui avait sanctionné un masseur-kinésithérapeute ayant réalisé un toucher pelvien sur une patiente.